UN VILLAGE D’ECRIVAINS A MONCEAUX-LE-COMTE

Mon projet dans la Nièvre à l’échelle d’un village

Malgré tout son charme et son passé, Monceaux-le-Comte (MLC) pourrait trouver un signe d’espoir face à sa ruralité historiquement en berne et à la faiblesse cumulée de ses indicateurs économiques – y compris dans le pays auquel ce village de 129 habitants est rattaché – Juillet 2020 –


Judith Coppel, 2018 – Collage
  • Sur le territoire français, de nombreuses résidences d’écrivains se visitent, mais il n’existe aucune Maison d’écrivains français en dehors de Paris 16ème. En revanche, aux États-Unis la matière littéraire y est encouragée comme à Iowa City.
  • Les auteurs étrangers sont mieux lotis, avec leur Maison à Saint Nazaire depuis 30 ans, mais pas les auteurs français, pourtant pléthore lors des rentrées littéraires.
  • En ce qui concerne les parcours ou routes d’écrivains, si nous en trouvons disséminés en Normandie, dans le passé ou ponctuellement, (Cf. Romain Rolland), ils n’ont pas réussi à s’installer, ou à se développer, durablement comme on l’a vu au Québec, en raison souvent d’une dommageable « Guerre des boutons ».
  • Enfin, aucun auteur ne peut s’essayer à l’écriture dans nos universités françaises, à moins d’avoir un faible pour les scénarii. En effet cet apprentissage développé dans d’autres pays occidentaux, n’existent pas en France. Comme le soulignait déjà Coluche, auteur humoristique reconnu aujourd’hui, « Il n’existe pas d’école d’écrivains ».

Lisez toutes mes propositions ci-dessous.